Vendredi 26 juillet, jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, la SNCF a été visée par des actes de sabotage coordonnés sur son réseau TGV.

Plusieurs axes ont été ciblés, conduisant à la perturbation du trafic entre Paris et l’Atlantique, l’Est et le Nord. 800 000 voyageurs seraient touchés par ces perturbations.

Le parquet de Paris a annoncé dans un communiqué se saisir de l’enquête « au titre de la JUNALCO (Juridiction Nationale de Lutte contre la Criminalité Organisée) de l’ensemble des dégradations volontaires causées sur des sites SNCF dans la nuit du 25 au 26 juillet 2024 ».

Cette enquête a été ouverte, des chefs de «détérioration de bien de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation»«dégradations et tentatives de dégradations par moyen dangereux en bande organisée»«atteintes à un système de traitement automatisé de données en bande organisée» et «association de malfaiteurs en vue de commettre ces crimes et délits», a précisé le parquet.