Le procès en appel de Nicolas Sarkozy et de neuf autres co-prévenus condamnés dans l’affaire Bygmalion se tient depuis le 8 novembre. L’ancien chef d’État avait été condamné en premier instance à un an de prison ferme pour avoir dépassé le plafond légal du budget de sa campagne présidentielle de 2012.

Au premier jour du procès, il avait déclaré qu’il expliquerait les raisons de son appel qui porte à la fois « sur le principe de la condamnation et sur le quantum » de la peine.

Il est entendu ce matin à la Cour d’appel de Paris.