Mercredi 26 juin, à quelques jours du premier tour des législatives, la porte-parole du gouvernement, Prisca Thevenot, a annoncé la dissolution en Conseil des ministres du GUD (Groupe Union Défense), un groupuscule étudiant d’extrême droite. Le groupe était en sommeil depuis 2017 et avait annoncé son retour fin 2022.

Trois autres structures d’extrême droite lyonnaises, Les Remparts, La Traboule et Top Short Rhône, ainsi que l’association islamiste Jonas Paris, ont été dissoutes le même jour.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a publié sur X que « La haine des extrêmes doit être combattue par la République ».

Le groupuscule des Remparts a déjà annoncé qu’il contesterait sa dissolution devant le Conseil d’État.