Dans la nuit du 17 au 18 mai, la Commission spéciale a adopté les vingt-et-un articles du projet de loi sur la fin de vie.

Une modification majeure a été apportée à l’un des critères les plus stricts. L’aide à mourir, initialement réservée aux malades ayant un « pronostic vital engagé à court ou moyen terme », a été élargie par la Commission spéciale à ceux se trouvant « en phase avancée ou terminale ».

Ce choix a été pris contre l’avis du gouvernement, mais avec l’approbation de Olivier Falorni, rapporteur général.

Le projet de loi devrait arriver le 27 mai à l’Assemblée nationale pour une première lecture.